mardi 27 novembre 2007

fray'Er SMS

Hey lecteur ! Surement mon plus gros boulot depuis le début de mes études... je crée et réalise la maquette graphique d'un magazine tout nouveau et terriblement conceptuel... écrit tout en PMS (dérivé du SMS, allez voir sur le site, tout y est dit). Ceux qui me connaissent un minimum crieront au scandale (:)), pourtant je vous certifie que le français me fascine toujours autant. Tellement que j'essaye de nouvelles choses, de nouvelles approches de ma Langue. Après tout, comment mieux mélanger graphisme et écriture... sinon par du sms intelligent ? (entre autre...)
Je suis arrivé en cours de projet, à la deuxième édition du mensuel. La rencontre avec Phil Marso fut une véritable chance puisqu'il me laisse créer ce que je veux, au service de son projet, de notre projet. Ce deuxième numéro porte sur les grèves (actualité, actualité !), donc j'ai décidé de travailler sur un graphisme angulaire et noir, une mise en page décalée, sans cesse en changement d'une double-page à une autre...

fray'Er SMS N°02 en pdf
le site
de Phil Marso (disponible, le N°01 dont il s'est entièrement occupé.)

Watch out for the next episode...

le dernier Wow typographique

Typo Inuit

La "nouvelle" identité visu SNCF

Et hop. On aime, ou pas. (mais le site est bien terrible !)
accès au site

vendredi 23 novembre 2007

Musique - Daft Punk

Bon, évidemment, je ne devrais pas être là, flânant nonchalamment sur l'espace virtuel tandis que j'ai mille travaux à finir (ou commencer, c'est ça le problème...). Mais bon, j'aime tellement le challenge :)

Lecteur, il est temps que je te parle un peu plus de ma drogue ultime, la musique. L'émotion auditive. Le voyage par l'ouïe. Comme ces derniers temps, je passe plus de temps à 30 centimètres de mon écran que de mon oreiller, il est tout à fait indispensable de pouvoir tenir et, le coca-cola étant relativement cher et peu conseiller pour le régime alimentaire d'un étudiant, il me FAUT mon opium personnel.

S'ouvre alors la nouvelle chronique (foule en délire, roulement de tambour) ; la Musique. Ouverture énergique avec, en plein dans l'actualité 2007, la sortie du dernier album des Daft Punk ; Alive 2007. Enregistré le 14 juin à Bercy, ce "live" fut consacré comme l'un des meilleurs de l'année en question, tous styles confondus (source: Europe 2). Un peu moins d'une heure et quart de folie électronique, où le public devient hystérique à chaque fois qu'un nouvel instru fait immersion dans le mix surhumain. De quoi te promettre des frissons lorsqu'un cri multiplié par quelques milliers de voix déchire l'air devant la scène. (pok dans les oreilles, sennheiser en prend un coup à chaque bass)

Qui aime l'électro ne se lassera pas de Alive 2007, consécration de leurs albums en milieu humain. Buy it play it hear it share it...

jeudi 22 novembre 2007

Technikart. Pré-rendu

Pré-rendu photo de la double page technikart. Deux propositions de couleurs assez différentes... Bon, il est temps que j'aille dormir.
Have a nice ________ ! (anything...)

*Attention, gros Krakaje avec une autre colo coming soon !* (<<< révélation)

O_o

mardi 20 novembre 2007

La police qui pique

" ouais, ça y est, je suis inscrit sur dafont, j'upload non stop ! Je suis un vrai typographe de ouf " (je précise que c'est faux... au Kazou :P)

ahahah.

Première destruction typographique qui pique les yeux :) (Mais c'était bien drôle !)

(Ceci est un pur fake typographique et assumé comme horrible, je vous rassure)

dimanche 18 novembre 2007

Technikart. Rough

Alors... Nouveau sujet après le long "Helvetica Z Birthday" qui à eu le don de me rendre nauséeux à la vue de la typo en question =D. (Une maquette en 40x20 qui n'aura pas été sans difficultés... d'impressions notamment.)

Donc, nouveau départ ; Le client hypothétique se trouve être Technikart à présent, éditeur d'un mag un peu... contemporain dirais-je (comment-ça, "ça ne veut rien dire contemporain"?!:)).

Le sujet : donner un violent front kick dans l'image dépassée des métiers du compagnonnage, avec des propositions originales et décalées. (le pied !)

Trois déclinaisons du concept : affiche type Sucette, double page de mag, descente de métro ! (particulier celui-ci)
Je suis donc parti sur l'atmosphère un peu sectaire (voire fétichiste (!)) que j'ai pu retirer de la lecture "propagandesque" du site internet des Compagnons du Devoir. Bien sûr, c'est extrême, mais tellement "contemporain" (COMMENT CA?!)

Pour l'instant, que du rough... réa dans les prochains jours parce que ça urge !
PS : Je retiens principalement le visuel du milieu... pour le rapport perso/objet, plus tendre et poétique.

Typo typo

Deux liens utiles...

Le premier, un site US qui n'est pas sans rappeler le célèbre Da Font :
Urban Fonts

Le second, un autre site de free fonts, qui propose un lien pour dl le logiciel Font Creator (eng) :
Font Freak

(Ne pas oublier qu'une typo aussi à besoin d'une réflexion préalable... beauty's not enough.)

Take Care !

Edit : Je viens de trouver un lien vers un site qui pique les yeux (=D) mais rempli de liens utiles vers des logiciels, principalement...
Le site qui pique les yeux

mardi 13 novembre 2007

Cinéma - Chrysalis

Chrysalis n'est pas un chef-d’œuvre, c'est un constat évident qui s'installe après quelques minutes seulement. L’intrigue se déroule sans trop de surprises, mêlant terrorisme à la mode (version bulgare, pour la note originale. Ils devraient poser des droits sur le terrorisme...), flic bouleversé par la mort de sa collègue et, accessoirement, femme, ainsi qu'une bleusaille niaise à la voix nasillarde (insupportable aussi).


Pourtant, le film m'a séduit. Bien que son scénario soit du niveau de celui d'une de nos fameuses séries françaises, Chyrsalis est servi par un Dupontel aigri et torturé, qui semble naturellement violent. Violent physiquement, les combats du long métrage sont prenants, placés efficacement et de façon entendue, exposant un Bernie qui a pris quelques kilos de muscles... Le rythme est soutenu, la chorégraphie est crédible et, hormis quelques scènes (flous trop longs par exemple), la réalisation est bonne. La violence s’exprime aussi dans le peu de répliques de l’acteur principal (On notera quelques piques assassines pour sa nouvelle collègue, qui, forte de son ânerie à peine feinte, les mérite largement).

Ce film de science-fiction prend place dans un futur stéréotypé, plaçant l’action dans un univers de verre, de métal et de plastiques monochromes. L’image haute gamme qui en ressort mériterait un scénario plus imposant, plus décalé, pourtant, on se laisse facilement emporter dans ce film facile.

En résumé, on se retrouve avec une vitrine d’effets spéciaux, de design et de graphisme hauts de gammes, nourris par un trop pauvre scénario, pourtant servi par un Dupontel inquiétant et authentique.

(Prenez soin de noter l'horrible effet plastoc sur la typo, ma-gni-fique.)


jeudi 1 novembre 2007

Intro...

Ce n'est pas tant l'orthographe SMS qui est à déplorer, mais plutôt la pauvreté linguistique contenue dans ces messages. Un réel travail est à réaliser sur la profondeur du contenu ainsi que sur la qualité graphique du contenant.

See you, web lecteur.

Cinéma - The Assassination of Jesse James by the coward Robert Ford

A l'instar du titre, c'est long. Plus de deux heures et demi. Du coup, c'est "longuement beau".

D'un côté, un Brad pitt dément dans son rôle de Jesse James, à mi-chemin entre le paranoïaque névrosé, le bandit sanguinaire et le trentenaire perdu dans une spirale qu'il ne comprend qu'à peine... De l'autre côté, Robert Ford incarné par Casey Affleck (qu'on retrouve avec une moustache dans la trilogie d'Ocean's =D). Mais ici, Casez n'est pas bon, il est monstrueux. Son jeu tangue entre le gosse avide de reconnaissance, jalousant et vénérant le grand Jesse et le manipulateur génial qui prépare son ascension, coûte que coûte.

Le film est rythmé par deux histoires. Les deux protagonistes se croisent, se suivent, se rejettent, se retrouvent et ce véritable ballet est imagé par de nombreux plans, plus magnifiques les uns que les autres. L'histoire évolue et la manière dont le récit est conté, la façon dont les images sont choisies, évoluent avec elle. Ainsi, on commence assez classiquement, avec un assaut en règle et, peu à peu, tout devient plus psychologique, plus humain… Les six-coups laissent tantôt leurs places aux accès de violence imprévisibles de Jesse, tantôt aux remarques acides de Ford. Et on se prend à aimer l’un et à plaindre l’autre, puis les rôles changent. Nos perceptions aussi. Le plaisir reste à son comble.

Brad Pitt montre ici un autre de ses visages. Quelque chose d'infiniment triste et beau.

Visuellement, on remarque un flou constant sur les bords de l'image, renforçant l’impression du vieux film, du vieux cliché… N’est-ce pas aussi un moyen de rappeler que Jesse James est un personnage dont la véritable vie reste et restera couverte de doutes, de mystères et d’intrigues ? Au-delà de cet effet, la réalisation appuie le trouble de Jesse. Des plans sombres, presque torturés, viennent renforcer cette impression de folie douce dans le visage du cowboy.

Hey lecteur, c'est un film à ne pas manquer.


Repos...

Réveil à midi et demi. Errance post-comatique sur le net, les yeux en mode ligne d'horizon, un mal de crâne causé par des rêves séverement débiles... Puis de 13h30 à 15h, prise de vue d'un ange déchu qui fume comme l'usine à côté de chez moi. Mais bon, j'ai bien rigolé.

L'immeuble est grand quand même. Au moins mille, vu d'en haut.

Bref, il est 16h passé là. Faut que je termine la Roulade. Dehors, un tas de gosses s'amuse au foot sur un parking rempli de vieilles tires... je me demande qui va trinquer en premier... vitre ou phare, va savoir...


Hocus Pocus tourne en boucle. Je découvre. Je ne regrette pas. Rewind.

Entre les blancs (2)

Second Shot. You're aLIVE.